Chacun à sa place…
En France, le Front de gauche n’est pas au gouvernement. Le PS a une majorité absolue parlementaire avec ses apparentés, et EELV un strapontin au pouvoir exécutif.
La social-démocratie va donc assumer, seule, ses responsabilités européennes. Il y aura une opposition de gauche, plus nettement anticapitaliste.
Idem en Grèce. Les vieilles familles politiques co-responsables de tout ce gâchis se retrouvent dans une majorité de circonstance, pour mendier auprès de l’ « Europe » de Mme Merkel quelques délais et aménagements à un « plan d’aide » imbuvable. Et le principal vainqueur, Syriza, deuxième force du pays, a choisi de ne pas jouer dans cette mauvaise pièce.
Castor